9.2.11

Qui suis-je

De formation scientifique, j'ai toujours été attirée par la communication, l'art et le plein air.
Au cours de mes études en biologie, j’ai choisi d’appliquer ma spécialisation de biologie moléculaire à l'environnement, et plus particulièrement aux mammifères marins. J'ai ainsi pu collaborer avec les différents centres de recherche sur les mammifères marins du Québec, grâce à des stages et des emplois; en tant qu'observatrice de terrain mais aussi en tant qu'animatrice dans les centres d’interprétation et lors de présentations orales.
Pour en savoir plus : Projet de maîtrise vulgarisé
ou "L’élaboration d’une méthode pour évaluer l’âge des cétacés à partir de leur longueur de télomères".
J'ai poursuivi cette voie qui m’a menée à la vulgarisation scientifique et au bénévolat pour des organismes promouvant la science. Des formations supplémentaires auprès de l'Association des communicateurs scientifiques (ACS) et la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), deux organismes dont je suis membre, m'ont permis de devenir journaliste indépendante.
La cause des journalistes indépendants et le peu de reconnaissance générale envers ces travailleurs atypiques ont forcé mon intérêt et mon implication à l’Association des journalistes indépendants du Québec (
AJIQ) en tant que membre du conseil d’administration.

Employée comme coordonnatrice adjointe à Québec-Océan, j'étais chargée de coordonner l’ensemble des activités à Rimouski. Ceci passe par préparer la tenue de réunions, assurer le suivi du conseil d’administration et de l’assemblée générale annuelle, participer à la rédaction du rapport annuel et des articles du site Internet ainsi que mettre à jour la banque de données. Cet emploi à temps partiel assurait aussi la tenue d'activités de vulgarisation scientifique.

Cet emploi faisait suite à celui d'agente de liaison pour le Centre interinstitutionnel de recherche en écotoxicologie (CIRÉ), où mon mandat consistait à rédiger des rapports faisant état de pollution environnementale mais aussi à développer des outils de communication scientifique pour ce centre et ses partenaires muséaux.


Voici quelques échantillons de mes réalisations. En tant que pigiste, j'ai écrit pour la revue Découvrir, l'Agence Science Presse, la revue Quatre Temps, le webzine Pluie de Science, la revue Espaces, la maison d'édition Ulysse, ou encore des magazines Jeunesse tels que Les Explorateurs ou Les Débrouillards, pour qui j’ai également fait de la recherche. En tant que communicatrice, une collaboration avec le Musée Armand Frappier a conduit à une série d'articles parus dans le Courrier Laval : les "Sciences simplifiées", ou encore au développement de leur infolettre Informus Frappieri : le bulletin d'information trimestriel .
Il y a aussi eu quelques ébauches... comme "Cacophonie chez les baleines", présenté dans le cadre de la bourse de vulgarisation scientifique Fernand Seguin, ou la pilule bleue touche le coeur des femmes, l'approche scientifique écosystémique, la thérapie génique au service de la lutte contre le cancer.

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